Santé physique et mentale sont désormais reconnues de manière égale.
Bien que cette nouvelle soit réjouissante, le droit à la santé dans sa globalité est rarement respecté.
Un employeur se doit toujours d’apporter un environnement sain à ses salariés, mais ce n’est pas toujours le cas. Plus souvent qu’on ne l’imagine, ses établissements sont eux-mêmes la source de souffrance psychique. C’est pourquoi, le paradoxe est profond : comment des institutions censées porter une mission d’intérêt général peuvent-elles devenir des lieux de vulnérabilité, d’épuisement ou bien encore de harcèlement ?
Entre obligations juridiques claires et pratiques collectives imprégnées de mauvaises habitudes, comment révéler les conditions de mise en œuvre concrète du droit à la santé mentale dans les institutions, et les leviers mobilisables pour sortir de cette contradiction généralisée.


